Malheureusement, j'ai croisé des révolutionnaires que je connaissais et qui me connaissaient. À leur regard, j'ai senti que je n'étais pas le bienvenu parmi eux.

15 avril 2016 

Dieu merci, je vais bien et je suis à la maison maintenant
J'étais heureux d'avoir retrouvé mes camarades de la révolution, mais malheureusement, j'ai croisé des révolutionnaires que je connais et qui me connaissent. À leur regard, j'ai senti que je n'étais pas le bienvenu parmi eux, et certains m'ont accueilli avec dégoût. Je ne sais pas exactement quel est le secret de leurs sentiments à mon égard. Me considèrent-ils comme un agent de sécurité infiltré, ou comme un soldat indésirable parmi eux ? J'apprécie ce qu'ils ont vu de l'armée, alors ils détestent tout le monde, moi y compris.
Globalement, je me réjouis de votre unité en ce jour, car c'est en soi la première voie vers le succès de votre révolution. Je vous souhaite beaucoup de succès et je m'efforcerai de vous suivre et de vous soutenir de loin. Je suis ouvert à tous ceux qui souhaitent me rencontrer, mais je n'irai pas vers ceux qui ne veulent pas de moi parmi eux.
Bonne chance à vous, si Dieu le veut, et merci à tous ceux qui ont demandé de mes nouvelles.

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